Descente et promotion près de Chengde en Chine

Voyages dans le voyage

Durant le mois de mai, Jean Yves Blondeau était en Chine. Avec son amis Chang Yue et la tendre Xiao Qin, Ils sont allé faire une tournée de promotion et des descentes du coté de Chengde, au nord est de Pékin. ne pas confondre avec Chengdu la capitale du Sichuan a 1500 kilomètres de là de l’autre coté de la chine.

Shows à Canzhou

Nous avons commencé par Canzhou au sud de Pékin, ou Chang Yue a son magasin de roller et son école de Roller. Nous avons fait de petites animations pour les enfants, et nous avons fait un show pour l’école de médecine.

Chengdu la nuit.

Nous sommes arrivés la nuit à Chengdu après une journée de voiture. Une grande place illuninée grouille de gens. C’est un grand bouhaha où les groupes d’activités différentes se côtoient a un mètre de distance. Il doit y avoir au moins deux ou trois milles personnes. Il y a du square dance, des activités de ballon, de la dance traditionnelle, et des clubs de patineurs.

Perdu dans la choregraphie.

C’est celui qui a la sono la plus forte qui est entendu. Nous somme invités a faire une démonstration en bordure de la place. A plus de deux mètres de distance je n’entend plus la musique. j’essaye de compter mes pas. quand je reviens je découvre ou j’en suis et j’ajuste plus ou moins bien. En fait personne ne prête attention a la qualité de la performance, sauf moi.

Route noire.

Lendemain, départ pour la route noire. C’est un col de montagne d’une dizaine de kilomètres sur laquelle transite une noria de camion de charbon. La route n’est pas vieille, mais certainement pas prévue pour des camions chargés à raz bord. Il déversent a chaque virage, freinage changements de vitesse ou bosselette, des tiaffées de poudre de charbon mouillé. Ca ressemble a des bouzes de vaches en plus noir. C’est déconcertant, mais ça ne sent pas mauvais. Ça donne l’impression d’un goudron tout noir, tout neuf, une route noire.

La défonse.

Les camions trop lourd déforment la surface bitumée. D’abord cela forme des vagues. Et puis les vagues se brisent, et les cailloux des sous couches déferlent sur la chaussée. J’ai essayé de traverser en force l’écume de cailloux. C’était une mauvaise idée. Je me suis brutalement échoué aux millieu des rochers pointus qui lacérèrent mes coques. Il faut absolument éviter ces écueuils de la chaussée.

La route blanche.

Sur le bas coté de la route noire, plongeait dru dans la pente une route en béton blanche. Son aspect était lisse. Par rapport à la route noire qui n’offrait qu’une déclivité a sept pour-cent, celle ci coulait a quinze ou seize pour-cent. C’était un beau potentiel de vitesse.

Les secousses avant le pire.

Nous avions repéré la route sur quelques quilomètres avant de la descendre. Quand nous avons commencé à rouler sur la pente vertigineuse, poussé par la gravité, les vaguelettes de beton normalement amorties par les suspensions de la voiture a faible vitesse, se sont vitre transformées en secousses incontrolable au dessude soixante kilometres par heure. la route était aussi bien plus étroite. Et donc bien plus risquée en cas de croisement.

Au bout de la piste.

Sur le bas, la route se met a suivre le fond de la rivière avec de belles relances et de parties rapides; mais les pluies ont amené des tonnes de matériaux. la surface étant recouverte des graviers de la montagne, c’était beaucoup moins agréable à rouler; et puis tout d’un coup le béton s’arrête, mais pas moi, ne laissant apparaître qu’un chemin de terre chaotique. C’est comme quand un avion dépasse le bout de la piste. On rentre la tète jusqu’à ce que cela s’arrête. au final, rien de cassé, juste mangé quelques kilos de poussière.

Longue valée

On est remonté, et on a fait la descente jusqu’au bout de la vallée sur la route noire. Malgré les vagues, les écueils, les défonces, c’est un beau tracé que l’on peu laisser aller pratiquement a fond jusqu’en bas.

La vallée aux rochers d’or

Le lendemain, sur proposition d’un des cameraman, nous somme allé voir une route d’accès d’une station de ski en construction. Après de courtes négociations avec la sécurité locale on nous a ouvert les portes de la route qui est normalement fermée. La route est toute neuve. Elle passe a fond. La vallée est magnifique avec ses rochers dorés. Il n’y a que nous sur la route, alors on prend les trajectoires de cochon.

Connecter la culture et le temps

En fin de journée, nous sommes passé sur un autre col. Long et magnifique, il surfe les faces de la montagne dorée. La route est en pavés; impossible d’y faire rouler une roulette d’armure. En son sommet se trouve un petit sanctuaire du maître du dragon. On vient y prélever de bout de tissus rouge que l’on accroche aux véhicule pour les protéger le long du voyage. Les rochers sont magnifique. Il y a une énergie qui vient de plus lion que la réalité. Je retrouve mes marques dans la lumière divine d’un soir qui s’éternise.