Zhang Jia Jie, Tian Men Shan et le HERO LEGENDAIRE de la montagne céleste.

Voici où, Jean Yves Blondeau, est devenu le « HERO LEGENDAIRE » de Tian Men Shan, la montagne de la porte céleste.

tian men shan jump 2012

chronique du HERO LEGENDAIRE

Durant l’hiver 2012, Jean Yves Blondeau a été approché par eux équipes chinoises pour un événement au coeur de la chine dans un endroit sacré afin de devenir le HERO LEGENDAIRE de la montagne sacrée . C’est une montagne dont l’ouverture donne sur le ciel. Lieu de pèlerinage pour certains et lieu touristique pour le gouvernement. La route comprend 99 virages qui est un nombre puissant et symbolique en Chine. Un amalgame de 11 km de plaques de béton vibrant et sinueux passe d’un cote a l’autre des falaises sur plusieurs faces de la vallée comme un boomerang ou le son de l’echo qui se perd dans les escarpements de la montagne.

la route légendaire

La route est connue comme une experience scénographie spectaculaire. Sa circulation y est strictement réglementée et régie par l’armée. Le bas de la vallée est consacrée a un opera a ciel ouvert qui utilise la montagne comme décors. On y joue une fresque mythologique ou les amoureux deviennent des renard blanc. Le choeur de femme est extraordinaire.
Afin de preparer la descente, Jean Yves est allé sur place un mois auparavant . Il fallait verifier la faisabilité, preparer les photos de presse, dessiner les rampes, les virages relevés , et trouver l’endroit pour le saut.
Au moment venu, Jean Yves est revenu. La météo est capricieuse, et les orage dans cette region son terribles. Son avion n’est pas arrive au bon aéroport. Il est arrive le lendemain . durant une meme journée il peut pleuvoir averses, faire beau, descendre la brume, pleuvoir a nouveau et se dégager . Les parties vertes sur la route en béton sont des algues qui deviennent glissante comme du savon des qu’elles sont humides. Dans le tunnel l’eau coule tout le temps. Et meme a 30 km/h il est difficile de ne pas sortir de la route. D’un cote une rigole bétonée profonde et les rochers, et de l’autre la route est bordée de plots en béton espaces d’un mètre. l’espace est suffisant pour passer entre deux plot . Juste derrière les plots il y a la falaise abrupte souvent en surplomb . Quand il n’y a pas de vegetation c’est vraiment que le rocher est brutal. Car la végétation dans cette vallée arrosée et chaude, est une luxuriante jungle tropicale, a travers laquelle il serait difficile de progresser, et qui retombe en cascades sur les hauts flancs de la route des qu’elle le peut.

Petards chanceux

Tout les matins en ville les pétards résonnent contre les parois des immeubles. Au debut Jean Yves a cru a des coups de feux. Mais Leur repetition et le calme des rues lui ont rappelé la culture joyeuse de pétards pour fêter les événements de la vie. Plus tard il pu voir les cartons carbonisés et les confettis rouges de papiers déchiquetés joncher le sol autour des maisons.

Menus oxymores

Jean Yves avait deux accompagnateurs chinois. L’un était le traducteur, l’autre était l’homme des réseaux. Le second avait pour habitude de se délecter de pattes de poulet bouillies. Il n’y a que la peaux sur les os, et le tout est un peu transparent. Tout le contraire de son prédateur !

la foule organisée .

Le jour de l’exploit , la montagne a été vidée de ses visiteurs. Il n’y avait que les gens de l’opera en costume de scene pour l’occasion, la police, les journalistes, et le responsable du parti local, dont la disponibilité avait a elle seule, justifié du choix de la date. C’est dire si cet homme est important !
L’hotel avait été complètement réservé pour les journalistes. Jean Yves ne le croyait pas. Il y en avait plus de 120.
Au milieu de la descente, les vibrations ont fini par défaire les straps de jambes et il a fallu quitter la protection de hanche. Sans s’arrêter, tout en roulant, Jean Yves l’a passée a la voiture suivante.

Organiser et defabriquer le risque.

La complexité du tracé de la route, sa longueur, son manque de perspective au ras du sol, la rendait très difficile a mémoriser dans son entier. Jean Yves avait donc établi un code de marquage pour les points importants de trajectoire, les zones de freinage, les trous dans la chaussée , les zones de faible adherence. Chaque piège a été marqué référencé sur le plan et sur la route. Il était donc possible de décoder la route meme si la visibilité venait a manquer ou la mémoire se troubler. Il était important d’éliminer les surprises et de maitriser les risques connus.
Ce n’était pas une descente très rapide mais éprouvante . D’une part il faisait chaud et humide. D’autre part, le sol était super glissant. Enfin, les vibrations finirent par alterer l’acuité visuelle de Jean Yves. Il devenait difficile de déchiffrer la route. Au bout de vingt minutes, il était temps d’arriver.
Mais ce n’était pas tout. Comme une punition, un test Allemand, le plus dur était pour la fin. Le saut. Il fallait être juste a la bonne vitesse. pas trop lent pour ne pas finir empalé, pas trop vite pour ne pas voler derriere la rampe d’atterrissage. Tout s’est bien passé.
Le soir, Jean Yves était tout seul dans sa chambre d’hotel. Quel ennuis ! Alors  il est allé patiner seul pour découvrir la ville. Et il n’a pas rencontré un seul amis.

HERO LEGENDAIRE célèbre autour de la planète.

Un Exploit de jean Yves Blondeau a cet endroit et l’occasion d’y attirer les medias du monde entier. Les images de la descente ont d’ailleurs été diffusées dans tout les pays. En chine seulement la retransmission a été vue par 380 Millions de spectateurs. Des années plus tard, cet événement, reste une reference dans l’histoire chinoise.

Voici notre video de  Jean Yves Blondeau , le HERO LEGENDAIRE, a Tiannmenshan.